« Je me sens submergé par trop d’informations et trop de systèmes de communication en parallèle. J’ai un comportement automatique dans la consultation et l’envoi des mails. L’excès de connexion a des impacts sur ma santé… Je privilégie l’urgence. Je ne prends pas assez de recul… ».
Ces affirmations s’appuient sur des constats récurrents : la sur-sollicitation numérique, parfois nuit et jour, pourrait bien constituer un problème de santé publique. Telle est la mise en garde lancée par Caroline Cuny, membre de la chaire et docteur en psychologie cognitive et professeur de marketing à Grenoble Ecole de Management. Cette dernière a pointé les méfaits objectifs sur la cognition de la sur-sollicitation numérique et relève, aussi, tout l’enjeu qu’il y a à reprendre en main sa relation au numérique. C’est ce que vous propose le questionnaire d’Agnès Muir-Poulle, membre de la chaire et directrice de la revue Envies de Changer#2 à la page 36.
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